Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Publié par Virginie Maillard

L'icône de mon enfance s'est éteinte

Un matin comme un autre, enfin presque.  Vendredi 26 mai. Il est 9 heures. La voix de Marc-Olivier sur Europe 1 résonne encore dans ma tête... Depuis cinq minutes on ne cesse de parler de Michael Jackson. Immédiatement, je m'interroge : "Serait-il mort ? Lui, l'icône de mon enfance. Ce chanteur si emblématique à mes yeux. Ce black devenu blanc sur lequel j'ai pu me déhancher lors des boums ? Non, il ne peut pas être mort. Il est immortel comme dans Thriller qui passe dans ma tête !"

Je me jette sur mon ordinateur et la nouvelle est foudroyante : Michael est mort à 50 ans.

Cette icône des trentenaires a rejoint les étoiles ou les démons avec qui il aimait tant danser ! Depuis ce matin, le web, la radio, la télé, la presse, tous se déchaînent pour lui rende hommage ! Moi-même, j'ai eu envie, avec mes mots, de lui rendre un dernier hommage.

Michael Jackson, c'est mon premier concert au Parc des Princes en 1997, j'ai 15 ans. Pendant plus de deux heures, j'ai crié, chanté, vibré avec mon icône. Pourtant, je me souviens qu'il faisait froid et qu'on était vraiment mal assis ! Mais c'était le ROI de la pop. Il était habile sur scène. Il dansait comme un King. Même loin des planches, on était sur scène avec lui. Son énergie était unique. Ses expressions, vibrantes.

Malgré sa descente aux enfers, ces dernières années, Michael restait l'icône de mon enfance. Adieu Michael...

Les souvenirs...
Virginie Maillard
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
C
Je suis tout à fait d'accord avec ton analyse. Les médias sont un business plus qu'un service apporté au public. La preuve, aujourd'hui déjà, loin de respecter la peine de la famille, on s'attarde sur les dettes colossales laissées par le King of Pop à ses enfants. ça, c'est avéré. Il n'empêche que même les personnages publics devraient avoir droit à un certain respect, quelques jours de trêve, au moins pour la famille.Au passage, j'aime bien ton blog. Il est frais et franc, comme tu me sembles l'être. Je te souhaite bon courage dans ce dur milieu du journalisme.
Répondre
C
Quasiment autant de tubes que de titres sortis, le recordman de ventes d'albums. Mais pour toi qui es journaliste, ne trouves-tu pas tes collègues un peu hypocrite d'en faire une icône alors que rien ne lui a été épargné sur sa prétendue pédophilie il n'y a pas si longtemps ? Tous les journaux en ont fait un gros dégueulasse, et maintenant, c'est un Dieu de la musique rentré dans la légende.Parenthèse à part, le roi est mort, vive le Roi ! Ses musiques résonneront encore longtemps dans nos coeurs. Une petite pensée pour Farrah Fawcett quand même ! 
Répondre
V
<br /> hhhCe que tu décris s'appelle le buisness des médias !!! On écrit, filme et enregistre ce qui fait vendre. Michael pédophile, c'est vendeur, ça fait de l'audimat. Michael mort, cette icône nous<br /> a quitté, c'est également très vendeur... Regarde, à 11 heures, hier, Virgin et la Fnac étaient en rupteure de stock de ses albums. Du buisness !!! Remarque, entre nous, je préfère que l'on dise de<br /> Michael icône de la pop que pédophile, et ça pour une raison, ça n'a jamais été prouvé devant une cour. Il a quand même été relaxé... Après, je n'étais pas dans le lit avec les enfants, donc j'ai<br /> tendance à croire le Tribunal, c'est leur boulot de juger.<br /> <br /> <br />